La dernière modification de cette page a été faite le 27 juin 2020 à 22:20. En 1930, les Kurmis de Bihar s'allièrent aux agriculteurs Yadavs et Koeris aux élections locales. [1] Selon Susan Bayly: Des personnes comme (Sir William) Hunter, à l'instar d'autres figures comme H. H. Risley (1851–1911) et son protégé Edgar Thurston, disciples du théoricien français de la race Topinard et ses émules européens, subsumaient des propos sur les castes en théories du déterminisme génétique de la race,... Leurs grands rivaux étaient les théoriciens du matérialisme ou de l'occupation emmenés par l'ethnographe et folkloriste William Crooke (1848–1923), auteur d'une des enquêtes provinciales de Castes et Tribus les plus lues, ainsi que des érudits d'influence comme Denzil Ibbetson et E. A. H. [1] According to Susan Bayly: Those like (Sir William) Hunter, as well as the key figures of H. H. Risley (1851–1911) and his protégé Edgar Thurston, who were disciples of the French race theorist Topinard and his European followers, subsumed discussions of caste into theories of biologically determined race essences, ... Their great rivals were the material or occupational theorists led by the ethnographer and folklorist William Crooke (1848–1923), author of one of the most widely read provincial Castes and Tribes surveys, and such other influential scholar-officials as Denzil Ibbetson and E. A. H. [7] Dans les petites villes fondées par les suzerains musulmans, les paysans Hindous n'avaient d'autres lieux où prier que ceux de leurs employeurs. [1] Dans le courant de cette période, la pratique quotidienne des rituels Brahmaniques se répandait au sein de l'élite, la question de la pureté du sang prédominait celle des alliances matrimoniales et, comme le soulevait alors un réformateur social, le nombre infanticides sur des filles avait augmenté au sein des communautés Rajputs, une pratique par ailleurs peu fréquente parmi les Kurmis. A British revenue agent wrote in 1790, "It unfortunately happened that during the famine aforesaid a great proportion of the Kurmis, Kacchis and Koeris were in this district as well as in others supplanted by Brahmans ... " and bemoaned the loss of agricultural revenue in part due to, "this unfavourable mutation amongst the cultivators ..."[7]. The prices of agricultural lands fell at the same time that the East India Company, after acquiring the Ceded and Conquered Provinces (later the North-Western Provinces) in 1805, began to press landowners for more land revenue. For reprint rights: Times Syndication Service. Les Kurmis étaient réputés pour leur activité agricole. [7] Les Kurmis hindous de Chunar et Jaunpur, par exemple, ont gardé la coutume islamique du mariage entre cousins et de l'enterrement des morts. [1] Cette situation économique a par ailleurs encouragé l'apparition de l'agriculture intensive dans des zones reculées et fait la fortune de paysans roturiers qui travaillaient ces terres, à l'instar des Kurmis. ", Quote: "The Hindu draws a distinction between, Indian censuses of the British Raj period, "A lasting signature on Bihar's most violent years", https://en.wikipedia.org/w/index.php?title=Kurmi&oldid=987798377, Creative Commons Attribution-ShareAlike License, This page was last edited on 9 November 2020, at 08:57. Dans la même logique, un champ florissant de blé sera le fruit du travail d'un cultivateur non-deux-fois-nés, le blé étant une plante qui requiert un certain talent et savoir faire.

Many new rulers of the 18th century came from such nomadic backgrounds. "A good lot is the Kurmi woman; she takes her spud and weeds the field with her lord. [9] Earlier, in the late eighteenth century, when Asaf-Ud-Dowlah, the fourth Nawab of Awadh, attempted to grant the kshatriya title of Raja to a group of influential landed Ayodhya Kurmis, he was thwarted by a united opposition of Rajputs, who were themselves (as described by Buchanan), "a group of newcomers to the court, who had been peasant soldiers only a few years before ..."[9] According to historian William Pinch: Rajputs of Awadh, who along with brahmans constituted the main beneficiaries of what historian Richard Barnett characterizes as "Asaf's permissive program of social mobility," were not willing to let that mobility reach beyond certain arbitrary socio-cultural boundaries. Pour autant, ces revendications n'en demeuraient pas moins inédites, s'agissant de cultivateurs “pures” et de gardiens de bétails Rams -et des Kurmis, Ahirs et Koeris adorateurs de Krishna... Dans un cas comme dans l'autre, ces demandes s'appuyaient sur la théorie sanskrite du Varna et la convention de la caste brahmanique... Les cultivateurs Kurmis et Goalas/Ahirs qui tenaient leur activités de ces “seigneurs” se virent ainsi qualifiés de Shudras, une identité désignée pour servir les varnas supérieurs, Kshatriyas et Brahmanes.[1]. [1] Les prix des terres agricoles s'effondrèrent à un moment où la Compagnie des Indes orientales, ayant fait l'acquisition en 1805 des Provinces Cédées et Conquises (anciennes Provinces occidentales du Nord) réclamait plus de rentes foncières. The leaders of the Kisan Sabhas urged their Kurmi and Ahir followers to lay claim to the Kshatriya mantle. Entre les années 1970 et 1990, plusieurs castes se dotèrent de leur propre armée, une tendance largement menée par les exploitants agricoles, en réponse à l'influence grandissante des groupes extrémistes de gauche. [1] Les leaders des Kisan Sabhas pressèrent leurs soutiens Kurmis et Ahirs de revendiquer leur appartenance Kshatriya. Les rivalités de castes contribuèrent également au déclin de l'organisation opposée d'un coté à des castes supérieure dotées de meilleures capacités d'organisation, et fragilisée en son sein par les Yadavs, persuadés de leur domination naturelle sur les Kurmis, considérés comme inférieurs. In 1999, the alliance won 41 of the 54 parliamentary seats in undivided Bihar. This was followed by an organisation in Awadh that sought to draw other communities — such as the Patidars, Marathas, Kapus, Reddys and Naidus — under the umbrella of the Kurmi name. Cross-cultural influences were felt also. Ce fut notamment le cas, rapporté par Francis Buchanan, des Kurmis Ayodhya de la province de l'Oudh au début du XIXe siècle. Risley is best known for the now discounted attribution of all differences in caste to varying proportions of seven racial types which included "Dravidian," "Aryo-Dravidian," and "Indo-Aryan".

Pour Denzil Ibbetson et E. A. H. Blunt, ces qualités étaient celles des paysans non-patriciens – l'endurance des Jats ou la prudence des Kurmis de l'Inde supérieure... Des vertus qu'on retrouverait parmi de plus petites populations de planteurs, populations connues dans l'Hindoustan sous le nom de Keoris...[1]. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. [1] A noteworthy attribute of the resulting Kurmi-kshatriya movement was the leadership provided by educated Kurmis who were now filling the lower and middle levels of government jobs. The Times of India News App for Latest <a href="/specials/434650.cms">Young India Votes</a> News, Copyright © 2020 Bennett, Coleman & Co. Ltd. All rights reserved. In the rural Ganges valley of Bihar and Eastern United Provinces, the Bhakti cults of Rama, the incorruptible Kshatriya god-king of Hindu tradition, and Krishna, the divine cowherd of Gokul, had long been entrenched among the Kurmi and Ahir.

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